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Namasté ! Bonjour en hindi ! Cette jolie langue est le reflet d'un beau et grand pays, aussi contrasté et dépaysant soit-il. Beaucoup de voyageurs reviennent choqué par l'immense pauvreté du pays mais la plupart y retourne pour retrouver l'atmosphère unique de l'Inde, empreinte de spiritualité sur fond de paysages somptueux.
La grandeur du pays, le relief et le manque d'efficacité des transports vous feront choisir entre l'Inde du nord et l'Inde du sud.
Au nord, vous trouverez les plus beaux monuments du pays : le merveilleux Taj Mahal à Agra, la ville de Fatehpur Sikri, les temples de Khajuraho et leurs sculptures érotiques ou ceux de Bhubaneswar dans l'Orissa.


La capitale du pays, New Delhi, vous semblera inaccessible tant par son immensité que par ses nombreux aspects négatifs dus à une surpopulation propre aux grandes villes d'Inde : bruit, chaleur et pollution.

Passez-y une journée ou deux pour visiter les monuments intéressants, croiser quelques vaches sacrées, manger une petite friture locale et observer le contraste saisissant entre la ville hindoue et la ville musulmane.
Vous pourrez visiter Qutb Minar, le minaret d'une très vieille mosquée et le tombeau de Humayun, ancien empereur moghol.

Le Rajasthan est une région haute en couleur, des vêtements traditionnels des Rajahsthanis aux anciennes citadelles des puissants Rajputs comme Jaipur la rose ou Jodhpur la bleue.  Aux portes du désert du Thar se trouve la ville de Jaisalmer qui mérite elle aussi une étape. Autre destination du nord : la ville d'Ahmenabad.

Changement de décor dans la ville de Madikeri, cette "petite" est surnommée "l'Ecosse indienne" : tout un programme, non ?


L'Inde du sud revendique son identité nationale après des siècles de colonisation. La plupart des grandes villes du sud ont repris leur nom d'origine pour rappeler que l'indépendance a été signée grâce à la mobilisation du peuple.

Vous pourrez vous prélasser dans les stations balnéaires de la côté ouest, à Goa, tout en profitant pour visiter des sites religieux comme les grottes d'Ellorâ, classées au patrimoine mondial de l'Unesco.
Mumbai est la capitale du cinéma indien mais aussi le pilier commercial et financier du pays. Les monuments victoriens situés en bord de mer sont des atouts touristiques.
Sur la côte est, Calcutta (Kolkata) s'éloigne peu à peu de son image de ville-bidonville et est l'une des villes saintes les plus actives.
Traversée par le fleuve Hooghly, elle offre un spectacle saisissant quand les fidèles viennent se purifier dans l'eau à la tombée du jour.
Dans le Karnataka, ne manquez pas la sublime ville de Bangalore qui s'est grandement modernisée ces dernières années au point d'être surnommée "la Silicon Valley indienne".

Plus excentrée dans l'ouest du pays, la ville de Pune, à visiter si votre itinéraire le permet. On y trouve notamment l'Aga Khan, palais où Gandhi fut retenu. Une cité vivante, jeune et chargée d'histoire.
Si vous souhaitez naviguer sur les backwaters, Kochi, port de la mer d'Oman vous offre cette possibilité.

Avec ses 1,1 milliards d'habitants, l'Inde est la plus grande démocratie du monde mais fonctionne à double vitesse.
Rassasiez-vous de ses multiples trésors naturels et patrimoniaux qui ne vous feront pas oublier l'immense pauvreté de près de la moitié de la population.

L'Inde au cinéma
Comment ne pas évoquer Bollywood ce genre si particulier qui mêlent le chant à la danse avec en toile de fond une histoire d'amour. L'industrie du cinéma indien est particulièrement active.
Beaucoup de réalisateurs n'ont pas pu résister au charme de ce pays qui offre plein de couleurs et de poésie. Ainsi La mort dans la Peau de Paul Greengrass, Slumdog Millionnaire de Danny Boyle ou encore Mange, Prie, Aime de Ryan Murphy ont été tournés en Inde.


Conseils pratiques
Lorsque l'on est étranger, il vaut mieux éviter de trop parler aux femmes.
Pas besoin de faire preuve de galanterie ou de politesse : laisser sa place n'est pas dans les usages et aider les hôtes à mettre le couvert est considéré comme insultant.
On évite aussi trop de compliments : cela est mal perçu.
Ne prenez pas trop de photos, ou du moins, faite-le discrètement.
Si vous êtes en couple, évitez de vous tenir la main ou de vous embrasser en public.
La règle est de se déchausser avant de rentrer dans la maison de votre hôte.
Le "oui" indiens s'apparente... au non occidental. Si une personne bouge sa tête de droite à gauche avec un grand sourire, ne vous méprenez pas : cela veut dire "oui".
Pour dire bonjour, les Indiens joignent leurs mains au niveau de la poitrine et disent "namaste", littéralement "je vous salue", en penchant leur tête en avant. Grand signe de respect, n'hésitez pas à en faire de même pour saluer les personnes que vous rencontrerez au cours de votre voyage.
Météo / Quand partir

Quelle est la meilleure période pour se rendre en Inde ? Quel y fait-il en ce moment ? Toutes les infos météorologiques et climatiques.
» Météo en Inde

Passeport / Visa / Formalités

Pour aller en Inde, il vous faut un passeport dont la validité doit être de plus de six mois après votre retour en France et un visa touristique. Ce dernier s'obtient uniquement par anticipation auprès de l'ambassade à Paris.

Plusieurs solutions s'offrent à vous pour obtenir le visa touristique :
L'ambassade d'Inde à Paris a confié la procédure à un prestataire. Vous trouverez toutes les informations sur ce site et le formulaire à télécharger (en anglais) sur le site de VFS.
Tel : 0 821 09 0009 (0,12 euros/min)

Si vous êtes pressé, vous pouvez passer par des agences spécialisées qui feront la demande à votre place moyennant finance (123visa, visa Express, Visa chrono, Homevisas, etc.).

Le prix d'un visa en 2008 pour aller en Inde est de 60 euros. Comptez une vingtaine de jours pour l'obtenir. Le visa est valable six mois et ne peut pas être renouvelé en Inde. Il vous faudra sortir du pays et réitérer une demande de visa touristique.

Toutes les formalités pour passer sa retraite en Inde.
Transports

Aller en Inde
L'avion est le moyen de transport le plus rapide pour aller en Inde qui se situe à 8000 km de la France. En 9 heures environ, vous serez à Delhi, la capitale, au milieu des rues surpeuplées, des vaches sacrées et des odeurs de curry.

De nombreuses compagnies proposent des vols quotidiens pour Delhi, Calcutta, Mumbai, Chennai ou Bangalore. Comptez environ 1000 euros même en réservant à l'avance, mais sachez qu'une fois sur place, le coût de la vie est très raisonnable. Vous pourrez visiter bon nombre de temples, musées, et monuments pour quelques roupies.

Se déplacer en Inde
Les distances sont très longues entre les différentes villes du pays. Le meilleur moyen pour se déplacer est l'avion mais les prix sont très élevés pour les étrangers. Vvérifiez bien la fiabilité de la compagnie aérienne que vous utiliserez.

Il vous faudra de la patience si vous voulez éviter l'avion. Aller du nord au sud vous fera perdre beaucoup de temps... Exemple : rallier Mumbai à Chennai équivaut à parcourir 1300 km ! Mieux vaut choisir un itinéraire dans le nord ou le sud du pays et garder le reste pour un autre voyage. D'autant plus qu'il est important de prendre son temps en Inde, et d'anticiper des imprévus ou d'éventuels coups de cœur qui vous feront passer plus de temps dans certains endroits.

Lire Aller en Inde du nord.
Lire Aller en Inde du sud.

Le train est très pratique ; vous trouverez des gares dans de nombreuses villes. Il faut réserver à l'avance pour être sûr d'avoir une place dans un compartiment climatisé. Pour les grands trajets, choisissez le train de nuit. Préservez-vous des pickpockets en gardant avec vous vos objets de valeur et en ayant toujours à l'œil vos bagages.

Vous pouvez également louer une voiture, avec chauffeur si vous avez les moyens, qui connaitra mieux que vous l'état des routes et la manière de conduire à l'indienne !

Dans les villes, vous serez assailli par les conducteurs de rickshaw, cyclo-pousse ou taxi pour des sommes modiques. Ne vous en privez pas ! A Delhi, Calcutta ou Mumbai, les distances sont bien plus grandes qu'à Paris.


Aeroports
Le Lokpriya Gopinath Bordoloi Airport ou aéroport de Guwahati dessert les vols internationaux.


Gares ferrovières
L'Inde possède le réseau ferré le plus développé au monde. C'est une bonne manière de se déplacer et sans doute le moyen le moins cher. En revanche, les trains sont souvent bondés : il faut aimer voyager les uns sur les autres pendant de longues heures...


Généralités
L'état général des routes est plutôt médiocre et la circulation plutôt difficile : peu de gens connaissent et respectent le code de la route.

Pour tout déplacement en train, particulièrement s'il s'agit d'un train-couchette, il est vivement conseillé de faire attention à ses effets personnels. Les vols sont fréquents.


Location de voitures
Pour conduire en Inde, il est nécessaire d'avoir un permis international.

Pour faire une demande de permis international, vous devez vous rendre dans votre préfecture ou sous-préfecture : plus d'informations.

Guide de voyage Inde

Namasté ! Bonjour en hindi ! Cette jolie langue est le reflet d'un beau et grand pays, aussi contrasté et dépaysant soit-il. Beaucoup de voyageurs reviennent choqué par l'immense pauvreté du pays mais la plupart y retourne pour retrouver l'atmosphère unique de l'Inde, empreinte de spiritualité sur fond de paysages somptueux.
La grandeur du pays, le relief et le manque d'efficacité des transports vous feront choisir entre l'Inde du nord et l'Inde du sud.
Au nord, vous trouverez les plus beaux monuments du pays : le merveilleux Taj Mahal à Agra, la ville de Fatehpur Sikri, les temples de Khajuraho et leurs sculptures érotiques ou ceux de Bhubaneswar dans l'Orissa.


La capitale du pays, New Delhi, vous semblera inaccessible tant par son immensité que par ses nombreux aspects négatifs dus à une surpopulation propre aux grandes villes d'Inde : bruit, chaleur et pollution.

Passez-y une journée ou deux pour visiter les monuments intéressants, croiser quelques vaches sacrées, manger une petite friture locale et observer le contraste saisissant entre la ville hindoue et la ville musulmane.
Vous pourrez visiter Qutb Minar, le minaret d'une très vieille mosquée et le tombeau de Humayun, ancien empereur moghol.

Le Rajasthan est une région haute en couleur, des vêtements traditionnels des Rajahsthanis aux anciennes citadelles des puissants Rajputs comme Jaipur la rose ou Jodhpur la bleue.  Aux portes du désert du Thar se trouve la ville de Jaisalmer qui mérite elle aussi une étape. Autre destination du nord : la ville d'Ahmenabad.

Changement de décor dans la ville de Madikeri, cette "petite" est surnommée "l'Ecosse indienne" : tout un programme, non ?


L'Inde du sud revendique son identité nationale après des siècles de colonisation. La plupart des grandes villes du sud ont repris leur nom d'origine pour rappeler que l'indépendance a été signée grâce à la mobilisation du peuple.

Vous pourrez vous prélasser dans les stations balnéaires de la côté ouest, à Goa, tout en profitant pour visiter des sites religieux comme les grottes d'Ellorâ, classées au patrimoine mondial de l'Unesco.
Mumbai est la capitale du cinéma indien mais aussi le pilier commercial et financier du pays. Les monuments victoriens situés en bord de mer sont des atouts touristiques.
Sur la côte est, Calcutta (Kolkata) s'éloigne peu à peu de son image de ville-bidonville et est l'une des villes saintes les plus actives.
Traversée par le fleuve Hooghly, elle offre un spectacle saisissant quand les fidèles viennent se purifier dans l'eau à la tombée du jour.
Dans le Karnataka, ne manquez pas la sublime ville de Bangalore qui s'est grandement modernisée ces dernières années au point d'être surnommée "la Silicon Valley indienne".

Plus excentrée dans l'ouest du pays, la ville de Pune, à visiter si votre itinéraire le permet. On y trouve notamment l'Aga Khan, palais où Gandhi fut retenu. Une cité vivante, jeune et chargée d'histoire.
Si vous souhaitez naviguer sur les backwaters, Kochi, port de la mer d'Oman vous offre cette possibilité.

Avec ses 1,1 milliards d'habitants, l'Inde est la plus grande démocratie du monde mais fonctionne à double vitesse.
Rassasiez-vous de ses multiples trésors naturels et patrimoniaux qui ne vous feront pas oublier l'immense pauvreté de près de la moitié de la population.

L'Inde au cinéma
Comment ne pas évoquer Bollywood ce genre si particulier qui mêlent le chant à la danse avec en toile de fond une histoire d'amour. L'industrie du cinéma indien est particulièrement active.
Beaucoup de réalisateurs n'ont pas pu résister au charme de ce pays qui offre plein de couleurs et de poésie. Ainsi La mort dans la Peau de Paul Greengrass, Slumdog Millionnaire de Danny Boyle ou encore Mange, Prie, Aime de Ryan Murphy ont été tournés en Inde.


Conseils pratiques
Lorsque l'on est étranger, il vaut mieux éviter de trop parler aux femmes.
Pas besoin de faire preuve de galanterie ou de politesse : laisser sa place n'est pas dans les usages et aider les hôtes à mettre le couvert est considéré comme insultant.
On évite aussi trop de compliments : cela est mal perçu.
Ne prenez pas trop de photos, ou du moins, faite-le discrètement.
Si vous êtes en couple, évitez de vous tenir la main ou de vous embrasser en public.
La règle est de se déchausser avant de rentrer dans la maison de votre hôte.
Le "oui" indiens s'apparente... au non occidental. Si une personne bouge sa tête de droite à gauche avec un grand sourire, ne vous méprenez pas : cela veut dire "oui".
Pour dire bonjour, les Indiens joignent leurs mains au niveau de la poitrine et disent "namaste", littéralement "je vous salue", en penchant leur tête en avant. Grand signe de respect, n'hésitez pas à en faire de même pour saluer les personnes que vous rencontrerez au cours de votre voyage.
Météo / Quand partir

Quelle est la meilleure période pour se rendre en Inde ? Quel y fait-il en ce moment ? Toutes les infos météorologiques et climatiques.
» Météo en Inde

Passeport / Visa / Formalités

Pour aller en Inde, il vous faut un passeport dont la validité doit être de plus de six mois après votre retour en France et un visa touristique. Ce dernier s'obtient uniquement par anticipation auprès de l'ambassade à Paris.

Plusieurs solutions s'offrent à vous pour obtenir le visa touristique :
L'ambassade d'Inde à Paris a confié la procédure à un prestataire. Vous trouverez toutes les informations sur ce site et le formulaire à télécharger (en anglais) sur le site de VFS.
Tel : 0 821 09 0009 (0,12 euros/min)

Si vous êtes pressé, vous pouvez passer par des agences spécialisées qui feront la demande à votre place moyennant finance (123visa, visa Express, Visa chrono, Homevisas, etc.).

Le prix d'un visa en 2008 pour aller en Inde est de 60 euros. Comptez une vingtaine de jours pour l'obtenir. Le visa est valable six mois et ne peut pas être renouvelé en Inde. Il vous faudra sortir du pays et réitérer une demande de visa touristique.

Toutes les formalités pour passer sa retraite en Inde.
Transports

Aller en Inde
L'avion est le moyen de transport le plus rapide pour aller en Inde qui se situe à 8000 km de la France. En 9 heures environ, vous serez à Delhi, la capitale, au milieu des rues surpeuplées, des vaches sacrées et des odeurs de curry.

De nombreuses compagnies proposent des vols quotidiens pour Delhi, Calcutta, Mumbai, Chennai ou Bangalore. Comptez environ 1000 euros même en réservant à l'avance, mais sachez qu'une fois sur place, le coût de la vie est très raisonnable. Vous pourrez visiter bon nombre de temples, musées, et monuments pour quelques roupies.

Se déplacer en Inde
Les distances sont très longues entre les différentes villes du pays. Le meilleur moyen pour se déplacer est l'avion mais les prix sont très élevés pour les étrangers. Vvérifiez bien la fiabilité de la compagnie aérienne que vous utiliserez.

Il vous faudra de la patience si vous voulez éviter l'avion. Aller du nord au sud vous fera perdre beaucoup de temps... Exemple : rallier Mumbai à Chennai équivaut à parcourir 1300 km ! Mieux vaut choisir un itinéraire dans le nord ou le sud du pays et garder le reste pour un autre voyage. D'autant plus qu'il est important de prendre son temps en Inde, et d'anticiper des imprévus ou d'éventuels coups de cœur qui vous feront passer plus de temps dans certains endroits.

Lire Aller en Inde du nord.
Lire Aller en Inde du sud.

Le train est très pratique ; vous trouverez des gares dans de nombreuses villes. Il faut réserver à l'avance pour être sûr d'avoir une place dans un compartiment climatisé. Pour les grands trajets, choisissez le train de nuit. Préservez-vous des pickpockets en gardant avec vous vos objets de valeur et en ayant toujours à l'œil vos bagages.

Vous pouvez également louer une voiture, avec chauffeur si vous avez les moyens, qui connaitra mieux que vous l'état des routes et la manière de conduire à l'indienne !

Dans les villes, vous serez assailli par les conducteurs de rickshaw, cyclo-pousse ou taxi pour des sommes modiques. Ne vous en privez pas ! A Delhi, Calcutta ou Mumbai, les distances sont bien plus grandes qu'à Paris.


Aeroports
Le Lokpriya Gopinath Bordoloi Airport ou aéroport de Guwahati dessert les vols internationaux.


Gares ferrovières
L'Inde possède le réseau ferré le plus développé au monde. C'est une bonne manière de se déplacer et sans doute le moyen le moins cher. En revanche, les trains sont souvent bondés : il faut aimer voyager les uns sur les autres pendant de longues heures...


Généralités
L'état général des routes est plutôt médiocre et la circulation plutôt difficile : peu de gens connaissent et respectent le code de la route.

Pour tout déplacement en train, particulièrement s'il s'agit d'un train-couchette, il est vivement conseillé de faire attention à ses effets personnels. Les vols sont fréquents.


Location de voitures
Pour conduire en Inde, il est nécessaire d'avoir un permis international.

Pour faire une demande de permis international, vous devez vous rendre dans votre préfecture ou sous-préfecture : plus d'informations.


Coincé entre deux mers, l’une Rouge et l’autre Morte, la Jordanie est un petit pays aux trois quarts envahi par le désert et longtemps peuplé exclusivement de nomades, une charnière entre le monde méditerranéen et l’Orient, où se succédèrent de nombreuses civilisations.
Elles y ont laissé de splendides vestiges, parmi les plus importants du Moyen-Orient : la ville romaine de Jerash, des forteresses croisées, les châteaux omeyyades du désert et, bien sûr, la merveilleuse Pétra, cité creusée dans la roche par les Nabatéens.

La Jordanie est avant tout le pays des couleurs : la mer Rouge, Pétra la Rose, Amman la Blanche, sans oublier l’orange, le jaune et l’or du désert... En cours de route, la mer Morte mettra du sel dans votre voyage et les wadis (« vallées ») vous offriront des perspectives à couper le souffle !
La Jordanie offre aussi un bel itinéraire sur les traces de Lawrence d’Arabie, du port d’Aqaba à l’oasis d’Azraq en passant par l’étonnant wadi Rum ; et toutes les traditions du monde arabe : narguilé, appel du muezzin et promenades à dos de chameau...

Le royaume hachémite reçoit chaque visiteur comme un hôte de marque. Avec un peu de chance, des Bédouins vous inviteront sous leur tente en poil de chèvre. Vous comprendrez alors ce qu’hospitalité signifie en Jordanie : cérémonie du thé, café à la cardamome, orgie d’agneau et formules de bienvenue à n’en plus finir. Toute la magie de l’Orient.


Le ministère des Affaires étrangères déconseille tout voyage dans les zones frontalières de la Syrie et de l'Irak. Dans le contexte de l’intervention contre Daech de la coalition internationale, les Français résidents ou de passage dans le pays sont invités à renforcer leur vigilance.

Guide de voyage Jordanie

Coincé entre deux mers, l’une Rouge et l’autre Morte, la Jordanie est un petit pays aux trois quarts envahi par le désert et longtemps peuplé exclusivement de nomades, une charnière entre le monde méditerranéen et l’Orient, où se succédèrent de nombreuses civilisations.
Elles y ont laissé de splendides vestiges, parmi les plus importants du Moyen-Orient : la ville romaine de Jerash, des forteresses croisées, les châteaux omeyyades du désert et, bien sûr, la merveilleuse Pétra, cité creusée dans la roche par les Nabatéens.

La Jordanie est avant tout le pays des couleurs : la mer Rouge, Pétra la Rose, Amman la Blanche, sans oublier l’orange, le jaune et l’or du désert... En cours de route, la mer Morte mettra du sel dans votre voyage et les wadis (« vallées ») vous offriront des perspectives à couper le souffle !
La Jordanie offre aussi un bel itinéraire sur les traces de Lawrence d’Arabie, du port d’Aqaba à l’oasis d’Azraq en passant par l’étonnant wadi Rum ; et toutes les traditions du monde arabe : narguilé, appel du muezzin et promenades à dos de chameau...

Le royaume hachémite reçoit chaque visiteur comme un hôte de marque. Avec un peu de chance, des Bédouins vous inviteront sous leur tente en poil de chèvre. Vous comprendrez alors ce qu’hospitalité signifie en Jordanie : cérémonie du thé, café à la cardamome, orgie d’agneau et formules de bienvenue à n’en plus finir. Toute la magie de l’Orient.


Le ministère des Affaires étrangères déconseille tout voyage dans les zones frontalières de la Syrie et de l'Irak. Dans le contexte de l’intervention contre Daech de la coalition internationale, les Français résidents ou de passage dans le pays sont invités à renforcer leur vigilance.


L’Ouzbékistan, au cœur de l’Asie centrale, est un carrefour unique en son genre. Carrefour des civilisations avec les traces des grands empires : de celui d’Alexandre le Grand à celui des tsars en passant par ceux de Gengis Khan et Tamerlan. Carrefour des modes de vie, entre les tribus nomades et quelques-unes des plus anciennes cités sédentaires du monde. Carrefour des religions, à la croisée des influences bouddhistes, chrétiennes et musulmanes, sans qu’aient jamais été réellement effacées certaines traditions laissées par le chamanisme ou le mazdéisme. Carrefour culturel enfin, qui se découvre tout au long de la mythique route de la soie qui reliait la Chine à l’Occident avant l’avènement des grandes voies maritimes.

De chacun de ces visages, l’Ouzbékistan a conservé un héritage, à travers le mode de vie de sa population et des monuments parmi les plus prestigieux du monde musulman, alors même qu’une nouvelle société apparaissait, faite d’une mosaïque de peuples, de langages, de traditions, fruit de l’affrontement entre communisme et Islam.

Près de 20 ans après l’indépendance, l’Ouzbékistan profite pleinement des atouts touristiques légués par le découpage arbitraire des frontières par Staline dans les années 1920 et 1930. Les trois villes légendaires de l'Ouzbékistan, Samarcande, Boukhara et Khiva, drainent chaque année des dizaines de milliers de touristes avides de marcher sur les traces de Marco Polo et de découvrir des monuments historiques illustrant dix siècles d’architecture musulmane. Une manne financière qui arrive à point dans un pays en proie à d’immenses difficultés économiques, et qui tente de sortir du système imposé par les Soviétiques durant des décennies.

Dans le contexte de l’intervention contre Daech de la coalition internationale, le ministère des Affaires étrangères invite les Français résidents ou de passage à renforcer leur vigilance.

Guide voyage Ouzbékistan

L’Ouzbékistan, au cœur de l’Asie centrale, est un carrefour unique en son genre. Carrefour des civilisations avec les traces des grands empires : de celui d’Alexandre le Grand à celui des tsars en passant par ceux de Gengis Khan et Tamerlan. Carrefour des modes de vie, entre les tribus nomades et quelques-unes des plus anciennes cités sédentaires du monde. Carrefour des religions, à la croisée des influences bouddhistes, chrétiennes et musulmanes, sans qu’aient jamais été réellement effacées certaines traditions laissées par le chamanisme ou le mazdéisme. Carrefour culturel enfin, qui se découvre tout au long de la mythique route de la soie qui reliait la Chine à l’Occident avant l’avènement des grandes voies maritimes.

De chacun de ces visages, l’Ouzbékistan a conservé un héritage, à travers le mode de vie de sa population et des monuments parmi les plus prestigieux du monde musulman, alors même qu’une nouvelle société apparaissait, faite d’une mosaïque de peuples, de langages, de traditions, fruit de l’affrontement entre communisme et Islam.

Près de 20 ans après l’indépendance, l’Ouzbékistan profite pleinement des atouts touristiques légués par le découpage arbitraire des frontières par Staline dans les années 1920 et 1930. Les trois villes légendaires de l'Ouzbékistan, Samarcande, Boukhara et Khiva, drainent chaque année des dizaines de milliers de touristes avides de marcher sur les traces de Marco Polo et de découvrir des monuments historiques illustrant dix siècles d’architecture musulmane. Une manne financière qui arrive à point dans un pays en proie à d’immenses difficultés économiques, et qui tente de sortir du système imposé par les Soviétiques durant des décennies.

Dans le contexte de l’intervention contre Daech de la coalition internationale, le ministère des Affaires étrangères invite les Français résidents ou de passage à renforcer leur vigilance.


Faire du tourisme en Bosnie-Herzégovine est une excellente idée, et nous vous proposons ici quelques conseils pour bien préparer votre voyage et votre séjour. Ce sera un tourisme original : culturel et/ou sportif, avec visites des villes-perles des Balkans (Sarajevo, Mostar), des séjours dans les grands parcs naturels peuplés d'une faune qui est parmi les plus riches d'Europe, sans oublier pour les sportifs le ski et le canyoning.

Etat d'esprit pour un séjour en Bosnie-Herzégovine

Comme partout, avant de se rendre quelque part, il est fortement conseillé de connaître un peu l'histoire et la culture des gens, afin d'éviter de commettre des gaffes, surtout dans un pays relativement complexe comme la Bosnie. Pour faire simple, il faut savoir que le pays est constitué de trois peuples (Bosniaques, Serbes, Croates) et de deux entités : la Fédération croato-musulmane (Bosniaques et Croates) et la République serbe de Bosnie (Serbes). Voir la carte ci-dessous pour la ligne de séparation. Même si la guerre de Bosnie est terminée depuis 1995, les rancoeurs et parfois les haines restent malheureusement assez fortes. Alors le plus simple, si vous êtes touriste, c'est d'éviter de remuer ces problèmes. Ne parlez pas de la guerre ni de la situation politique, sauf si c'est votre interlocuteur qui amène le sujet. Et dans ce cas, ne prononcez pas d'avis tranché, écoutez simplement, intéressez-vous, mais restez le plus neutre possible.

Sachez également que les Bosniaques, qui sont les plus nombreux, ont l'Islam pour religion. Il s'agit un Islam très tolérant, très ouvert et sans intégrisme. La religion est également bien ancrée côté serbe (christianisme orthodoxe) et croate (catholicisme).


Formalités administratives pour entrer en Bosnie

En théorie, pour les ressortissants de l'Union européenne, une carte nationale d'identité suffit. Cependant il est fortement conseillé de se munir aussi d'un passeport en cours de validité, car cette pièce vous sera demandée très souvent, et les douaniers la préfèrent à la simple carte d'identité. Le passeport est aussi demandé à l'accueil des hôtels, car les hôteliers sont tenus de transmettre vos informations à la police. Pour les Canadiens : passeport également. Celui-ci sera tamponné le jour de votre entrée dans le pays, et re-tamponné lors de votre sortie.

Visa : aucun visa n'est demandé pour un séjour en Bosnie, si celui-ci est d'une durée inférieure à trois mois. Pour une durée supérieure, alors il faut un permis de séjour, qui s'obtient avec un permis de travail, qui lui-même s'obtient avec un contrat de travail. Il est très difficile de trouver un travail en Bosnie-Herzégovine si vous n'êtes pas Bosnien.


Comment aller en Bosnie

En voiture : 1800 km séparent Sarajevo et Paris, c'est donc faisable sur deux jours.

En train : mission difficile, avec plusieurs changements. Si vous êtes dans le Sud de la France, il faudra traverser l'Italie, puis vous rendre à Ljubljana (Slovénie) et Zagreb (Croatie). Si vous êtes dans le Nord, vous pourrez changer à Munich puis à Zagreb. Dans tous les cas Zagreb est le passage quasi-obligatoire quand on arrive de France. Comptez 200 euros pour le voyage complet.

En bus : la compagnie Eurolines permet de se rendre à Zagreb, puis de Zagreb d'autres bus peuvent vous emmener à Sarajevo. Voyage long et fatigant : 30 heures depuis Paris, sans compter le temps d'attente à Zagreb. Long et cher : 150 à 200 euros.

En avion : Air France propose plusieurs vols par semaine Paris-Sarajevo, avec escale à Zagreb. La durée totale du voyage est de 3 heures 30, pour un coût très variable en fonction des saisons et des cartes auxquelles vous avez droit (Tempo jeunes, etc). La compagnie slovène ADRIA Airlines propose également plusieurs vols par semaine Paris-Sarajevo avec escale à Ljubljana. Pour des vols charters, aucune liaison France-Bosnie. Par contre en cherchant bien, vous trouverez des vols charters pour la Croatie, et de là vous pourrez rejoindre la Bosnie en bus ou en train. Il y a trois aéroports en Bosnie-Herzégovine, mais seul celui de Sarajevo permet des liaisons vers toute l'Europe. Attention : en hiver, à cause de la neige et des conditions climatiques, il peut être fermé plusieurs jours de suite.

Chateau de Jajce en Bosnie centrale
Chateau de Jajce en Bosnie centrale
Collection personnelle

Santé et sécurité en Bosnie

Aucun problème de santé n'est à déplorer en Bosnie-Herzégovine. La nourriture est de bonne qualité et l'eau du robinet est potable. De plus, beaucoup de villes possèdent leur petite fontaine publique, souvent juste à côté de la mosquée, où l'eau est de très bonne qualité. Même si, bien sûr, il est toujours préférable de boire à la bouteille, il n'y a à priori pas de danger particulier de ce côté-là. Aucun vaccin obligatoire. Tout comme en France, le DTP (diphtérie Tétanos polio) est fortement recommandé, auquel on peut ajouter le vaccin contre l'hépatite A, recommandé dans toute l'Europe de l'Est en cas de séjours prolongés en milieu rural, ainsi que le vaccin contre l'encéphalite à tiques dite d'Europe centrale (uniquement si vous séjournez un certain temps en campagne et en forêts : aucun danger dans les villes).

Les mines : le principal danger en Bosnie-Herzégovine, ce sont les mines anti-personnel, toujours présentes en très grand nombre sur la quasi-totalité du territoire depuis la guerre de Bosnie. Tant que vous restez sur les sentiers battus, vous ne risquez rien. Mais si vous prenez des chemins non balisés, coupez à travers des forêts ou des montagnes, alors le risque est grand, et vous devez impérativement vous renseigner auprès de la population locale pour connaître les zones minées.

Vol, délinquance : très peu de danger de ce côté-là. Les villes bosniennes sont très calmes et les agressions physiques extrêmement rares. Se promener seul(e) la nuit dans une ville de Bosnie est beaucoup moins dangereux qu'en France. Après, bien sûr, le risque zéro n'existe pas...

Sur place : Pour acheter des médicaments, rendez-vous dans une pharmacie : "Apoteka". Dans les grandes villes elles sont assez nombreuses, et l'une au moins est ouverte de nuit, mais dans les villages il peut ne pas y en avoir.



Tourisme en Bosnie

Faire du tourisme en Bosnie-Herzégovine est une excellente idée, et nous vous proposons ici quelques conseils pour bien préparer votre voyage et votre séjour. Ce sera un tourisme original : culturel et/ou sportif, avec visites des villes-perles des Balkans (Sarajevo, Mostar), des séjours dans les grands parcs naturels peuplés d'une faune qui est parmi les plus riches d'Europe, sans oublier pour les sportifs le ski et le canyoning.

Etat d'esprit pour un séjour en Bosnie-Herzégovine

Comme partout, avant de se rendre quelque part, il est fortement conseillé de connaître un peu l'histoire et la culture des gens, afin d'éviter de commettre des gaffes, surtout dans un pays relativement complexe comme la Bosnie. Pour faire simple, il faut savoir que le pays est constitué de trois peuples (Bosniaques, Serbes, Croates) et de deux entités : la Fédération croato-musulmane (Bosniaques et Croates) et la République serbe de Bosnie (Serbes). Voir la carte ci-dessous pour la ligne de séparation. Même si la guerre de Bosnie est terminée depuis 1995, les rancoeurs et parfois les haines restent malheureusement assez fortes. Alors le plus simple, si vous êtes touriste, c'est d'éviter de remuer ces problèmes. Ne parlez pas de la guerre ni de la situation politique, sauf si c'est votre interlocuteur qui amène le sujet. Et dans ce cas, ne prononcez pas d'avis tranché, écoutez simplement, intéressez-vous, mais restez le plus neutre possible.

Sachez également que les Bosniaques, qui sont les plus nombreux, ont l'Islam pour religion. Il s'agit un Islam très tolérant, très ouvert et sans intégrisme. La religion est également bien ancrée côté serbe (christianisme orthodoxe) et croate (catholicisme).


Formalités administratives pour entrer en Bosnie

En théorie, pour les ressortissants de l'Union européenne, une carte nationale d'identité suffit. Cependant il est fortement conseillé de se munir aussi d'un passeport en cours de validité, car cette pièce vous sera demandée très souvent, et les douaniers la préfèrent à la simple carte d'identité. Le passeport est aussi demandé à l'accueil des hôtels, car les hôteliers sont tenus de transmettre vos informations à la police. Pour les Canadiens : passeport également. Celui-ci sera tamponné le jour de votre entrée dans le pays, et re-tamponné lors de votre sortie.

Visa : aucun visa n'est demandé pour un séjour en Bosnie, si celui-ci est d'une durée inférieure à trois mois. Pour une durée supérieure, alors il faut un permis de séjour, qui s'obtient avec un permis de travail, qui lui-même s'obtient avec un contrat de travail. Il est très difficile de trouver un travail en Bosnie-Herzégovine si vous n'êtes pas Bosnien.


Comment aller en Bosnie

En voiture : 1800 km séparent Sarajevo et Paris, c'est donc faisable sur deux jours.

En train : mission difficile, avec plusieurs changements. Si vous êtes dans le Sud de la France, il faudra traverser l'Italie, puis vous rendre à Ljubljana (Slovénie) et Zagreb (Croatie). Si vous êtes dans le Nord, vous pourrez changer à Munich puis à Zagreb. Dans tous les cas Zagreb est le passage quasi-obligatoire quand on arrive de France. Comptez 200 euros pour le voyage complet.

En bus : la compagnie Eurolines permet de se rendre à Zagreb, puis de Zagreb d'autres bus peuvent vous emmener à Sarajevo. Voyage long et fatigant : 30 heures depuis Paris, sans compter le temps d'attente à Zagreb. Long et cher : 150 à 200 euros.

En avion : Air France propose plusieurs vols par semaine Paris-Sarajevo, avec escale à Zagreb. La durée totale du voyage est de 3 heures 30, pour un coût très variable en fonction des saisons et des cartes auxquelles vous avez droit (Tempo jeunes, etc). La compagnie slovène ADRIA Airlines propose également plusieurs vols par semaine Paris-Sarajevo avec escale à Ljubljana. Pour des vols charters, aucune liaison France-Bosnie. Par contre en cherchant bien, vous trouverez des vols charters pour la Croatie, et de là vous pourrez rejoindre la Bosnie en bus ou en train. Il y a trois aéroports en Bosnie-Herzégovine, mais seul celui de Sarajevo permet des liaisons vers toute l'Europe. Attention : en hiver, à cause de la neige et des conditions climatiques, il peut être fermé plusieurs jours de suite.

Chateau de Jajce en Bosnie centrale
Chateau de Jajce en Bosnie centrale
Collection personnelle

Santé et sécurité en Bosnie

Aucun problème de santé n'est à déplorer en Bosnie-Herzégovine. La nourriture est de bonne qualité et l'eau du robinet est potable. De plus, beaucoup de villes possèdent leur petite fontaine publique, souvent juste à côté de la mosquée, où l'eau est de très bonne qualité. Même si, bien sûr, il est toujours préférable de boire à la bouteille, il n'y a à priori pas de danger particulier de ce côté-là. Aucun vaccin obligatoire. Tout comme en France, le DTP (diphtérie Tétanos polio) est fortement recommandé, auquel on peut ajouter le vaccin contre l'hépatite A, recommandé dans toute l'Europe de l'Est en cas de séjours prolongés en milieu rural, ainsi que le vaccin contre l'encéphalite à tiques dite d'Europe centrale (uniquement si vous séjournez un certain temps en campagne et en forêts : aucun danger dans les villes).

Les mines : le principal danger en Bosnie-Herzégovine, ce sont les mines anti-personnel, toujours présentes en très grand nombre sur la quasi-totalité du territoire depuis la guerre de Bosnie. Tant que vous restez sur les sentiers battus, vous ne risquez rien. Mais si vous prenez des chemins non balisés, coupez à travers des forêts ou des montagnes, alors le risque est grand, et vous devez impérativement vous renseigner auprès de la population locale pour connaître les zones minées.

Vol, délinquance : très peu de danger de ce côté-là. Les villes bosniennes sont très calmes et les agressions physiques extrêmement rares. Se promener seul(e) la nuit dans une ville de Bosnie est beaucoup moins dangereux qu'en France. Après, bien sûr, le risque zéro n'existe pas...

Sur place : Pour acheter des médicaments, rendez-vous dans une pharmacie : "Apoteka". Dans les grandes villes elles sont assez nombreuses, et l'une au moins est ouverte de nuit, mais dans les villages il peut ne pas y en avoir.






L’attitude positive de Dubai et son aptitude à faire de ses visions une réalité sont sources d’inspiration. Profitez au maximum de votre séjour à Dubai en associant la découverte des succès les plus modernes à des visites de la vieille ville, où l’on peut encore rencontrer les modes de vie traditionnels du Golfe.


La Crique : Ses eaux divisent la ville en deux parties égales – il s’agit de l’endroit idéal pour commencer une visite de Dubai.

Deira : une ruche d’activité permanente, ce quartier allie réellement l’ancien et le moderne.

Bur Dubai : une visite indispensable, en raison de la multitude de bâtiments historiques. 

Oud Metha : largement résidentiel, avec également de nombreux centres de loisirs, commerciaux et éducatifs.

Sheikh Zayed Road : Les édifices ressemblent à des reines de beauté qui rivalisent de hauteur, de beauté et d’élégance. 

Jumeira et Satwa : : Représentant le glamour de la ville, ce quartier regorge de salons de soins de beauté, de cafés et de culture, de centre commerciaux et d’activités de plage. 

Le Sud-Ouest : le nouveau visage de Dubai, avec la Marina de Dubai et bien d’autres développements immobiliers. 


Les curiosités les plus populaires de Dubai



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La Crique : Ses eaux divisent la ville en deux parties égales – il s’agit de l’endroit idéal pour commencer une visite de Dubai.

Deira : une ruche d’activité permanente, ce quartier allie réellement l’ancien et le moderne.

Bur Dubai : une visite indispensable, en raison de la multitude de bâtiments historiques. 

Oud Metha : largement résidentiel, avec également de nombreux centres de loisirs, commerciaux et éducatifs.

Sheikh Zayed Road : Les édifices ressemblent à des reines de beauté qui rivalisent de hauteur, de beauté et d’élégance. 

Jumeira et Satwa : : Représentant le glamour de la ville, ce quartier regorge de salons de soins de beauté, de cafés et de culture, de centre commerciaux et d’activités de plage. 

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La ville d’Italica – en espagnol Itálica- , située au Nord de la ville actuelle de Santiponce, à 9 km au Nord-Ouest deSéville, fut fondée en 206 avant Jésus-Christ par le général romain Publius Cornelius Scipion, l’ Africain. Il voulait y installer les soldats romains blessés à la bataille d’Ilipa, où l’armée carthaginoise fut battue lors de laSeconde Guerre Punique. La colonie Italica doit son nom à celui de l’Italie.


Amphithéâtre à Italica, en Andalousie


Les empereurs romains Trajan et Hadrien naquirent à Italica. Hadrien en fit une colonie, pour laquelle il fut généreux. Il construisit des temples ,dont un Trajaneum, à la gloire de Trajan, et restaura des bâtiments publiques. L’amphithéâtre d’Italica pouvait contenir 25.000 spectateurs, un peu moins que la moitié de l’ amphithéâtre Flavien, à Rome ; par sa dimension, il occupait la troisième place dans l’empire romain. La population romaine de la ville, à cette époque, était évaluée à seulement 8000 personnes. Les jeux et les représentations théâtrales, financés par l’aristocratie locale, occupant les postes de magistrat, étaient le moyen d’établir un statut : la taille de l’amphithéâtre montre que l’élite locale le maintenait, en le faisant rayonner bien au-delà d’Italica.

La ville moderne de Santiponce recouvre « la vieille ville », fondée par Scipion, à l’époque, ville république, et la ville ibérique pré-romaine. Cette ville, bien préservée et mise à jour, est la nouvelle cité, magnifiquement conçue sous Hadrien.


Un déplacement du cours du Gadalquivir, probablement dû à un envasement – problème fort répandu dans l’Antiquité après un déboisement – laissa Italica isolée et sèche. Le déclin de la cité s’opéra dès le 3° siècle. Plus tard,Séville s’établit à proximité, sans qu’aucune ville moderne ne recouvre la majeure partie des fondations d’Italica. Le résultat offre une ville romaine, exceptionnellement bien préservée de la province de Bétique, et un musée archéologique aux richesses inattendues, dont le célèbre colosse en marbre de Trajan. À Italica, on trouve des rues romaines pavées, et des sols en mosaïque toujours en place.

Les fouilles d’Italica débutèrent en 1781 et continuent toujours.


Mosaïque domestique, Italica, Andalousie


Avec ses vastes fouilles et ses aménagements pour les visiteurs, Italica est désormais une destination touristique prisée. Le site accueille également chaque année , en janvier, une course de « cross country », le « Cross International d’Italica ». Cet immense cross et les compétitions pour enfants attirent régulièrement des centaines de participants. Des champions classés mondialement figurent à la compétition internationale pour senior, et affiliée à l’IAAF, elle est l’ un des plus grands country cross annuels au monde.

Italica, site romain d'Andalousie



La ville d’Italica – en espagnol Itálica- , située au Nord de la ville actuelle de Santiponce, à 9 km au Nord-Ouest deSéville, fut fondée en 206 avant Jésus-Christ par le général romain Publius Cornelius Scipion, l’ Africain. Il voulait y installer les soldats romains blessés à la bataille d’Ilipa, où l’armée carthaginoise fut battue lors de laSeconde Guerre Punique. La colonie Italica doit son nom à celui de l’Italie.


Amphithéâtre à Italica, en Andalousie


Les empereurs romains Trajan et Hadrien naquirent à Italica. Hadrien en fit une colonie, pour laquelle il fut généreux. Il construisit des temples ,dont un Trajaneum, à la gloire de Trajan, et restaura des bâtiments publiques. L’amphithéâtre d’Italica pouvait contenir 25.000 spectateurs, un peu moins que la moitié de l’ amphithéâtre Flavien, à Rome ; par sa dimension, il occupait la troisième place dans l’empire romain. La population romaine de la ville, à cette époque, était évaluée à seulement 8000 personnes. Les jeux et les représentations théâtrales, financés par l’aristocratie locale, occupant les postes de magistrat, étaient le moyen d’établir un statut : la taille de l’amphithéâtre montre que l’élite locale le maintenait, en le faisant rayonner bien au-delà d’Italica.

La ville moderne de Santiponce recouvre « la vieille ville », fondée par Scipion, à l’époque, ville république, et la ville ibérique pré-romaine. Cette ville, bien préservée et mise à jour, est la nouvelle cité, magnifiquement conçue sous Hadrien.


Un déplacement du cours du Gadalquivir, probablement dû à un envasement – problème fort répandu dans l’Antiquité après un déboisement – laissa Italica isolée et sèche. Le déclin de la cité s’opéra dès le 3° siècle. Plus tard,Séville s’établit à proximité, sans qu’aucune ville moderne ne recouvre la majeure partie des fondations d’Italica. Le résultat offre une ville romaine, exceptionnellement bien préservée de la province de Bétique, et un musée archéologique aux richesses inattendues, dont le célèbre colosse en marbre de Trajan. À Italica, on trouve des rues romaines pavées, et des sols en mosaïque toujours en place.

Les fouilles d’Italica débutèrent en 1781 et continuent toujours.


Mosaïque domestique, Italica, Andalousie


Avec ses vastes fouilles et ses aménagements pour les visiteurs, Italica est désormais une destination touristique prisée. Le site accueille également chaque année , en janvier, une course de « cross country », le « Cross International d’Italica ». Cet immense cross et les compétitions pour enfants attirent régulièrement des centaines de participants. Des champions classés mondialement figurent à la compétition internationale pour senior, et affiliée à l’IAAF, elle est l’ un des plus grands country cross annuels au monde.

La ville d'Al-Quds est une importance stratégique. D’une vue géopolitique, elle est "le cœur du monde musulman, géographiquement et religieusement", comme décrit le savant de la géopolitique Djamal Hamdan dans son livre "le monde islamique aujourd'hui". Le lien est important entre cette ville et la civilisation musulmane. Le danger la menaçant, menace aussi le monde arabo-islamique.

Notons que la Palestine est un point de rencontre entre les trois continents Asie, Afrique et Europe. Un centre où les différentes cultures se mélangent. La Palestine se distingue par sa diversification géographique. La vallée, la montagne et le désert sont voisins. La Palestine était influencée par plusieurs civilisations. Al-Quds était, dès sa construction un lieu de pèlerinage.

Nous allons détailler la conquête islamique et puis résumer les étapes historiques suivantes jusqu'à l'époque coloniale et sioniste.

*La Palestine devint une partie de l'état islamique après la bataille d'Al-Yarmouque en l'an 13 hégire/633. Elle resta sous le califat islamique jusqu'en 1917.

*En 1099, la Palestine fut prise par les croisés. En 1187, elle revint aux musulmans. Puis, au vingtième siècle, elle fut envahie par les colons sionistes. Elle est encore sous le poids colonial.

*Avant la conquête arabo-islamique, les Arabes étaient déjà en Palestine et dans Al-Quds. Ce sont les Canaanites arabes qui, 3000 av. JC. construirent la ville d'Al-Quds, d'après 'Arif Al-'Arif dans son livre "le détail de l'histoire d'Al-Quds".



Ainsi, plusieurs historiens arabes et étrangers relient la région de Croissant Fertile à l'Arabie. En effet, les Arabes connurent "la terre la plus proche", qui est la Palestine, au sud de la Syrie. Ils suivaient de près les guerres entre les Perses et les Byzantins. Les Arabes voyageaient vers Batrah, en Palestine leur grande station, avant de partir vers Damas et vers Gaza où Hachim, le grand-père du Prophète, (PBSL) y mouru.

Abdo Al-Lattif Al-Tibawi note, dans son livre "Al-Quds dans l'histoire des Arabes et de l'Islam", qu'Omro Bin Al-'Aass, un commerçant de la Mecque, connaissait le sud de Palestine avant qu'il soit le chef militaire islamique. 'Aaqil, un autre écrivain, décrivit en détail l'existence arabe dans le pays d'Al-Cham, la Syrie, avant l'Islam, et aussi, les relations entre le Prophète (PBSL) et les Arabes de ce pays.

Avant même la conquête islamique, Allah donna une position importante à Al-Quds. C'est de ce lieu que le prophète (PBSL) fut son ascension vers le ciel. Le prophète Mohammed (PBSL) fit de ce lieu la troisième mosquée, de son importance, après celle de la Mecque et de Médine.

Il prévit la conquête de "Bilad Al-Cham" et Al-Quds en décrivant leurs habitants de "al-mourabittoune", les résistants.

Le Prophète (PBSL) prépara le terrain pour la conquête de la Syrie et Al-Quds. Il effectua treize guerres contre les Byzantins dans cette région, dont la bataille de Mo'atah et celle de Tabouk. Sous la direction de Ousamah Bin Zaïd, le Prophète (PBSL) prépara une grande armée, mais mourut avant d'accomplir le but.

A l'époque du premier calife, Abou Bakr Al-Sidiq (radhi Allahou 'anhou), quatre armées partirent pour la conquête de la Syrie dont une spéciale pour la Palestine sous la direction d'Omar Bin Al-'Aass (radhi Allahou 'anhou).

Ce dernier réussit à conquérir la plupart des régions de la Palestine, dont Gaza, Naplouse, Yafa et Rafah. Al-Quds fut encerclé. A l'époque du deuxième calife Omar Bin Khattab (radhi Allahou 'anhou), trente cinq mille soldats musulmans s'orientèrent vers Al-Quds.

Après quatre mois d'encerclement, les habitants de la ville sortirent pour faire la paix, mais seulement en la présence du calife lui-même. En l'an 638, le calife Omar reçut les clés de la ville dans une grande fête. Puis, il visita l'église d'Al-Qiyama.

Le calife donna au patriarche Sfernyous le "Al-'Aoda Al-'Aomariah", pacte de non-agression : "C'est le sujet donné par le serviteur d'Allah, Omar le prince des croyants, aux habitants d'Ilaa, une assurance de la sécurité pour eux-même, leurs biens, leurs églises et leurs croix. Leurs églises ne seront ni habitées ni détruites … Ils ne seront jamais obligés de quitter leur religion. Les juifs n'habiteront plus la ville d'Ilaa".

Histoire d'Al Qods

La ville d'Al-Quds est une importance stratégique. D’une vue géopolitique, elle est "le cœur du monde musulman, géographiquement et religieusement", comme décrit le savant de la géopolitique Djamal Hamdan dans son livre "le monde islamique aujourd'hui". Le lien est important entre cette ville et la civilisation musulmane. Le danger la menaçant, menace aussi le monde arabo-islamique.

Notons que la Palestine est un point de rencontre entre les trois continents Asie, Afrique et Europe. Un centre où les différentes cultures se mélangent. La Palestine se distingue par sa diversification géographique. La vallée, la montagne et le désert sont voisins. La Palestine était influencée par plusieurs civilisations. Al-Quds était, dès sa construction un lieu de pèlerinage.

Nous allons détailler la conquête islamique et puis résumer les étapes historiques suivantes jusqu'à l'époque coloniale et sioniste.

*La Palestine devint une partie de l'état islamique après la bataille d'Al-Yarmouque en l'an 13 hégire/633. Elle resta sous le califat islamique jusqu'en 1917.

*En 1099, la Palestine fut prise par les croisés. En 1187, elle revint aux musulmans. Puis, au vingtième siècle, elle fut envahie par les colons sionistes. Elle est encore sous le poids colonial.

*Avant la conquête arabo-islamique, les Arabes étaient déjà en Palestine et dans Al-Quds. Ce sont les Canaanites arabes qui, 3000 av. JC. construirent la ville d'Al-Quds, d'après 'Arif Al-'Arif dans son livre "le détail de l'histoire d'Al-Quds".



Ainsi, plusieurs historiens arabes et étrangers relient la région de Croissant Fertile à l'Arabie. En effet, les Arabes connurent "la terre la plus proche", qui est la Palestine, au sud de la Syrie. Ils suivaient de près les guerres entre les Perses et les Byzantins. Les Arabes voyageaient vers Batrah, en Palestine leur grande station, avant de partir vers Damas et vers Gaza où Hachim, le grand-père du Prophète, (PBSL) y mouru.

Abdo Al-Lattif Al-Tibawi note, dans son livre "Al-Quds dans l'histoire des Arabes et de l'Islam", qu'Omro Bin Al-'Aass, un commerçant de la Mecque, connaissait le sud de Palestine avant qu'il soit le chef militaire islamique. 'Aaqil, un autre écrivain, décrivit en détail l'existence arabe dans le pays d'Al-Cham, la Syrie, avant l'Islam, et aussi, les relations entre le Prophète (PBSL) et les Arabes de ce pays.

Avant même la conquête islamique, Allah donna une position importante à Al-Quds. C'est de ce lieu que le prophète (PBSL) fut son ascension vers le ciel. Le prophète Mohammed (PBSL) fit de ce lieu la troisième mosquée, de son importance, après celle de la Mecque et de Médine.

Il prévit la conquête de "Bilad Al-Cham" et Al-Quds en décrivant leurs habitants de "al-mourabittoune", les résistants.

Le Prophète (PBSL) prépara le terrain pour la conquête de la Syrie et Al-Quds. Il effectua treize guerres contre les Byzantins dans cette région, dont la bataille de Mo'atah et celle de Tabouk. Sous la direction de Ousamah Bin Zaïd, le Prophète (PBSL) prépara une grande armée, mais mourut avant d'accomplir le but.

A l'époque du premier calife, Abou Bakr Al-Sidiq (radhi Allahou 'anhou), quatre armées partirent pour la conquête de la Syrie dont une spéciale pour la Palestine sous la direction d'Omar Bin Al-'Aass (radhi Allahou 'anhou).

Ce dernier réussit à conquérir la plupart des régions de la Palestine, dont Gaza, Naplouse, Yafa et Rafah. Al-Quds fut encerclé. A l'époque du deuxième calife Omar Bin Khattab (radhi Allahou 'anhou), trente cinq mille soldats musulmans s'orientèrent vers Al-Quds.

Après quatre mois d'encerclement, les habitants de la ville sortirent pour faire la paix, mais seulement en la présence du calife lui-même. En l'an 638, le calife Omar reçut les clés de la ville dans une grande fête. Puis, il visita l'église d'Al-Qiyama.

Le calife donna au patriarche Sfernyous le "Al-'Aoda Al-'Aomariah", pacte de non-agression : "C'est le sujet donné par le serviteur d'Allah, Omar le prince des croyants, aux habitants d'Ilaa, une assurance de la sécurité pour eux-même, leurs biens, leurs églises et leurs croix. Leurs églises ne seront ni habitées ni détruites … Ils ne seront jamais obligés de quitter leur religion. Les juifs n'habiteront plus la ville d'Ilaa".

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